Nous n'échappons pas à cette règle, à cet ordre naturel car  le ciel préside  au flux de nos propres énergies. Dans une alternance salutaire, rythmée par les saisons, nos énergies se concentrent tantôt en surface, au niveau de notre peau et de notre cuir chevelu pour les nourrir, tantôt en profondeur au niveau de notre centre organique pour une indispensable restructuration.

Dans ce sens, le cycle saisonnier influence le cycle de régénération de la peau et du cuir chevelu. les manifestations cutanées alors générées sont salutaires et garantes de leur vitalité. sur le principe celles-ci sont légères et passagères ( cycliques)

Mais... car il y a un mais, le duo humain/citoyen que nous devons être se transforme bien souvent en dualité. ce vieux couple qui au lieu de cohabiter, s'oppose.

En effet, notre mode de vie quelquefois excessif n'est pas toujours en harmonie avec ces consignes qui nous sont envoyées par la nature. A l’inverse des animaux, nous avons des difficultés à respecter les périodes propices à l'intériorisation et la restructuration de nos énergies, que sont l'automne et l'hiver.

Ces manifestations en surface peuvent être alors, plus importantes et le cycle de régénération perturbé. 

Changer notre mode de vie n'est pas simple, compte tenu de nos obligations professionnelles et sociales. il nous faut alors vivre avec notre temps et nous adapter.  Voilà pourquoi la" cosmétique climatique" se décline en cinq lignes saisonnières, avec la volonté d'harmoniser ou de compenser les manifestations cutanées excessive ou carentielles au niveau de la peau et du cuir chevelu.